Absorption de Parel, un risque d'attrition des clients confirmés, un projet risqué avec des nouveaux outils ...qui restent à developper.
Automatisation de la procédure de fichage FICP, SG lance le projet avant de s'assurer qu'il soit fonctionnel : les salariés en font les frais, la CNIL épingle la SG.
Depuis plusieurs années la CFDT sensibilise ses militants sur les violences sexistes et sexuelles au travail. Elle s'est dotée d'une charte propre à ses structures.
En 2021, la CFDT réaffirme son engagement et sa détermination à rendre effectif les droits de travailleurs handicapés. En tant que première organisation syndicale, notre responsabilité est encore plus grande. La période de crise sanitaire accentue la vulnérabilité de certains travailleurs en situation de handicap. La pandémie a le dos large, et comme nous le constatons certaines entreprises en profitent pour franchir une étape supplémentaire dans leur course à toujours plus de productivité et de rentabilité.
Sur les 2,7 millions de personnes en situation de handicap en âge de travailler, 1 million travaillent en milieu ordinaire, 120 000 en ESAT Etablissement ou Service d'Aide par le Travail et 45 000 en établissement adapté. C'est bien sur l'inclusion dans nos entreprises qu'il faut pousser nos dirigeants à agir.
Les changements de la loi PACTE de juillet 2019 qui ont pour objectif de rendre l'epargne retraite plus lisible et plus attractive va nous permettre d'avoir la possibilité de regrouper nos différents supports (PERP, PERCO, Madelin, ER Valmy) et disposer d'un unique produit d'épargne retraite, le Plan d'Epargne Retraite PER.
Plus lisible car n'aurons plus qu'un seul produit avec 3 compartiments et des règles de fonctionnement uniformisées.
Plus attractif : la transferabilité des contrats en cas de changements d'entreprise ou de distributeurs, un assouplissement des conditions de sortie en rente ou en capital, une possibilité de sortie pour achat de la résidence principale (sauf pour les cotisations obligatoires C3)
Majoritairement, les salariés SG n'ont en Epargne Retraite que la version obligatiore ER Valmy art 83.
Les avoirs ER Valmy art 83 seront transférés automatiquement dans le PER Valmy (C3). Il est possible de s'y opposer mais pour la CFDT il n'y a pas d'intérêt à le faire. Sur les 2 supports, seule la sortie en rente est possible, à l'exception des rentes inférieures à 100€ par mois qui peuvent faire l'objet d'une sortie en capital à la retraite.
Certains sont titulaires d'un PERCO issus du placement de leur interessement, participation.
Le transfert est à l'initiative du salariés (C2)
Nous vous invitons à vous connecter à votre compte Sogeretraite sur le site https://epargne-entreprise.sogeretraite.com/fr/ et consulter la rubrique "Comprendre détails et fonctionnements".
Vous pouvez désormais regrouper vos avoirs d'épargne salariale et retraite sur votre compte Sogeretraite et visualiser ainsi votre épargne entreprise d'un seul clic.
Vous pouvez également aller sue le site esalia pour avoir plus de précisions sur les impacts de la loi PACTE
Ils nous parlent de l'égalité hommes femmes, des NAO et de la RSE mais aussi de leurs propositions culturels aut titre des Affaires Sociales et Culturelles autre mission des élus des CSE.
A Société Générale, malgré les budgets alloués pour le rattrapage des salaires dans le cadre de l’égalité depuis de nombreuses années, les inégalités persistent et continuent de se créer.
En décembre 2020, Société Générale a annoncé sa volonté d’accélérer notamment la dynamique en matière d’égalité femme-homme.
L'accord d'entreprise sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes arrive à échéance au 31 décembre 2021. Dans le contexte de la fusion SG/CDN, il a été prorogé d'un an.
Le budget de rattrapage des écarts salariaux reste lui d'actualité. Il doit être renégocié lors des Négociations Annuelles Obligatoires 2022 (NAO). Logiquement, nous devrions y constater les effets des annonces faites par la Direction en décembre. Les dernières enveloppes étaient respectivement de 3 millions pour 2019, 2 millions en 2020 et 2 millions en 2021.
La Société Générale joue sur les mots. Pour maintenir une image socialement responsable, elle avance que son projet de fusion ne prévoit pas de départs contraints. C’est faux ! Les salariés concernés seront bel et bien contraints
de subir a minima une mobilité géographique ou de quitter l’entreprise.
La CFDT n’est pas dupe. Ces éléments de langage trompeurs ne sont là que pour donner l’impression que cette fusion/absorption se fait en douceur. La réalité est toute autre : les salariés vont perdre leur emploi et ceux qui vont rester subiront des réorganisations majeures engendrant une nouvelle augmentation de leur charge de travail.
La CFDT déplore que la Société Générale continue de diminuer les effectifs et à faire régner l’instabilité avec des réorganisations permanentes alors que les enquêtes internes sur le moral et les conditions de travail des salariés sont déjà désastreuses et affichent des taux de stress très élevés.
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