Les signataires de l'accord sur les conditions de vie au travail ont été conviés à une réunion de présentation du nouveau "Baromètre Collaborateurs", alors que dans l'accord, il était inscrit "il apparaît dès lors opportun d'engager une réflexion sur une mesure globale du niveau d'engagement".
Nous avons eu certes notre mot à dire, mais en découvrant en séance les documents, difficile d'en faire une analyse sérieuse et respectueuse des enjeux en matière de conditions de travail portées par la CFDT depuis de longues années.
La CFDT qui s'est inscrite depuis le début dans la QVT ne se retrouve plus dans la démarche devant associer les partenaires sociaux pour améliorer le quotidien des salariés.
Le nouveau questionnaire est construit en fonction des plans d'actions que la Direction a déjà imaginé.
La continuité dans l'analyse des résultats d'une enquête à l'autre est brisée.
Greenworking qui nous apportait son expertise en matière de QVT depuis le tout premier accord a été remplacé par BVA.
Alors qu'il est avéré que plus le questionnaire comporte de questions et plus on perd en répondants, la nouvelle enquête passe de 28 à 48 questions...
La CFDT ne s'associe pas à cette refonte.
L'observatoire de la qualité de vie au travail se réunit ce jeudi 28 pour la présentation des plans d'actions suite à la dernière enquête QVT.
Les dispositifs attachés au contrat de génération ont éte reconduits, voire améliorés.
Nous avons réussi à obtenir de Frédéric Oudéa, qu'il n'y ait aucun licenciement contraint.
Nous pouvons par contre, déplorer que la rupture conventionnelle collective soit intégrée dans cet accord de 53 pages.
En apposant sa signature, la CFDT acte les avancées et les engagements, notamment que l'accord soit un socle pour tous les salariés de Societé Générale.
Retrouvez le texte complet dans le menu "Les accords" et la rubrique "emploi" ou directement en cliquant ICI
Tout ce qui va changer en 2019.
Le don du sang : pourquoi donner ?
Qu'est ce qu'une vraie mutuelle ?
Augmentations des cotisations et grille tarifaire.
La perte d'autonomie, le dossier médical partagé (DMP), la surcomplémentaire...
Consultez votre magazine ci-joint ou sur https://www.mutuelle-sg.com/liste-essor.php
N'oubliez pas de répondre au questionnaire de satisfaction que vous avez reçu par SMS afin d'aider le CSEC à améliorer les séjours de vos enfants.
Le vendredi 8 mars, votez et faites voter CFDT.
Pourquoi en parler aujourd'hui ?
C'est le volet de l'égalité hommes-femmes qui fait l'actualité. Les entreprises ont désormais l’obligation de mesurer les écarts salariaux et de les corriger dans un délai de 3 ans grâce à l'Index de l'égalité femmes hommes. La première publication est faite ce 1er mars et Société Générale a obtenu 85/100.
Cette note est fonction de leurs efforts pour combler les disparités salariales injustifiées, promouvoir les femmes autant que les hommes, veiller à ce que celles-ci figurent parmi les dix plus hautes rémunérations de la société, etc.
C'est une bonne note certes, mais on peut douter de l’efficacité de la politique Société Générale en matière d’égalité professionnelle, qui malgré des accords et des enveloppes de résorption des écarts depuis 2005, n’obtient que 85 au résultat de l’index.
La consultation sur les prévisions budgétaires 2019 Société Générale, aucune OS n'a pris part au vote. Ces prévisions ne prennent même pas en compte les dernières annonces faite par F.Oudéa!
La consultation sur le projet de modification de la procédure interne de signalement et de traitement des comportements inappropriés. Le passage non automatique de la phase d’écoute à la phase d’enquête risque d’augmenter la souffrance des victimes présumées sans pour autant garantir les droits du présumé harceleur.
La consultation sur le Projet BDDF d’évolution du service client spécialisé. La direction reconnait, aujourd’hui, avoir eu une mauvaise appréciation du calibrage de ces plateformes, tant au niveau des missions confiées que de leur positionnement géographique. La CFDT l'avait pourtant signalé en 2016.
La consultation sur le critère relatif aux écarts de rémunération entre les femmes et les hommes. Cette consultation se fait au pied du mur, sans discussion préalable avec les OS ou les IRP.